La femme Hilda Doolittle, dont on peut dire ici un mot, était aussi fascinante que le poète : d’une beauté remarquable, d’un esprit éclectique (elle s’intéressait au freudisme autant qu’à l’occulte), elle étonnait dans sa vie privée par son « indifférence provocante aux règles et à l’ordre » (selon les mots de William Carlos Williams). Ses œuvres plus ou moins autobiographiques comme Hermione, Dis-moi de vivre, ou le compte-rendu de l’analyse qu’elle entreprit avec Sigmund Freud en 1933-34 (Pour l’amour de Freud), laissent deviner la complexité d...
Trilogie de H.D. : entre mythe et Blitz
Article publié dans le n°1045 (16 sept. 2011) de Quinzaines
Trilogie
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