« Faute de pouvoir mettre la main sur La Quinzaine littéraire, je prends Le Monde de la veille au soir. »
Les films et les séries font bon usage des hypermarchés, de leurs lumières, de leur symétrie, des rencontres fortuites qu’ils permettent au détour de leurs allées, comme l’opéra dans les romans de Balzac. C’est un lieu cinégénique. Il fait rarement l’objet, en revanche, de descriptions ou d’utilisations littéraires. Et lorsque c’est le cas, comme dans Marcovaldo de Calvino ou dans Bruits de fond de Don De...
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