J’ai vu à automne 2024 La Bella Estate, un film de Laura Luchetti, d’après le roman éponyme de Cesare Pavese écrit en 1940 pendant le fascisme (aujourd’hui, il est disponible sur les plateformes et en DVD dans sa version italienne). Très peu de salles à Paris le diffusaient et, en lisant la réception critique, plutôt réservée, je me suis demandé si je ne m’étais pas trompé, si le fait que je l’aie apprécié n’était pas une erreur de ma part. L’inverse arrive fréquemment. On lit la critique élogieuse d’un film, d’un spectacle ou d’un livre, et cette critique ne correspond pas à no...
La jeunesse, même.
Article publié dans le n°1265 (26 mars 2025) de Quinzaines
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)