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La fortune critique de Francis Bacon (1561-1626) a connu, en France comme en Angleterre, des périodes de pleine lumière auxquelles ont succédé de plus ou moins longues éclipses. Perçu comme un précurseur par les membres de la Royal Society, puis présenté comme un modèle par les Encyclopédistes, il fit ensuite figure de penseur d’arrière-garde pour Russell, Koyré ou Bachelard. Depuis quelques années cependant, Bacon suscite à nouveau l’intérêt des spécialistes.
Alexis Tadié
Francis Bacon. Le continent du savoir

En atteste en Angleterre The Oxford Francis Bacon, monumentale édition critique en quinze volumes qui vise à remplacer l’édition de Spedding et Ellis, laquelle avait pris quelques rides depuis l’époque victorienne. On constate le même regain d’intérêt de ce côté-ci de la Manche, où les études recommencent à fleurir après une période de moins grande abondance au début des années 2000. Le livre d’Alexis Tadié, Francis Bacon : Le continent du savoir, s’inscrit dans ce mouvement.


Il a le mérite de proposer un panorama général de la pensée baconienne. Parce qu’i...

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