Livre du même auteur

Le voyage intérieur

L’auteur a emprunté les mots du titre à un poème de Jules Supervielle cité en épigraphe. Chez Philippe Leuckx comme chez Supervielle, l’homme paraît un « forçat innocent » dont le « cœur » conduira tout le livre.
Philippe Leuckx
Ce long sillage du cœur

Ce que souligne le poète, c’est l’inadéquation entre ce que l’on perçoit et ce que l’on ressent ; le paysage n’est pas nécessairement le reflet de l’âme : 


Il fait beau
Et le cœur plein d’épingles
Au-dehors
D’imbéciles oiseaux
Et ma main
Qui tremble 


Voilà affirmée la dissonance, la position peut-être d’un narrateur qui, hors des frontières attendues, a le goût « [d]es choses désordonnées ». Que les poèmes s’offrent en vers ou en prose, nous suivron...

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