Lorsque, pour des raisons affectives ou professionnelles, soit qu’on ait créé des liens personnels avec ce pays, qu’on y ait vécu, qu’on y soit né, qu’on en ait fait une spécialité universitaire, on est amené à découvrir et à connaître la littérature québécoise, on ne peut qu’exalter son foisonnement et sa beauté : les noms de Gabrielle Roy – à qui François Ricard, également spécialiste de Kundera (pourtant à des années-lumière de la première pour ce qui est de la reconnaissance mondiale) vient de consacrer un très bel album (1) –, d’Hubert Aquin, de Réjean Ducharme, de Monique Prou...
La résistance par l'idylle
Article publié dans le n°1128 (16 mai 2015) de Quinzaines
Le Roman sans aventure
(Boréal)
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