Tel est le ressort de l’écriture de Stuparich, qui se veut un hommage à son « grand frère » Scipio : dévoiler sans exhiber, dire sans trahir le secret de Trieste. « Triestinité – vitalité et mélancolie, nostalgie de pureté qui s’aperçoit de toutes les compromissions mais même quand elle y cède n’oublie pas que ce sont des compromissions et ne s’en laisse pas accroire. Exigence adolescente de la vraie vie, conscience sénile de la vie fausse […] » – Magris pense ici à Slataper, mais on ne saurait mieux résumer le ro...
Trieste par amour de la liberté
Article publié dans le n°1260 (31 mai 2024) de Quinzaines
Une année d’école
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