Bertrand Guillon, le narrateur, est un modeste professeur d’arts plastiques dans un collège parisien. Il a une épouse qui exerce le métier de géomètre expert, une fille préadolescente et un petit garçon qui chouine. À ses moments de vacance, il dessine, il fignole une BD « catastrophiste », joliment intitulée Ginette-Apocalypse, et voici la devise de son personnage : « Le monde est fichu, méfions-nous, calfeutrons-nous. » Au cours de l’année qui représente en gros le temps du roman, l’album paraît avec un succès appréciable. Quoi qu’il en soit et les choses éta...
Vivre, ça fait mal
Article publié dans le n°1022 (16 sept. 2010) de Quinzaines
Resplandy
(Seuil)
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