Bien sûr, l’auteur n’a pas inventé le polar polyphonique avec ce roman. Pour rester dans le domaine français et ne citer que lui, rappelons que L’Été meurtrier de Sébastien Japrisot avait déjà exploité la veine. L’identification par le lecteur est aisée : un chapitre égale un narrateur, dont la place et le rôle apparaissent rapidement et qui relance le suspense par des effets d’annonce un peu systématiques : « On ne pouvait pas deviner ce qui allait lui arriver » ; « Je me trompais, le pire allait venir » ; « Je ne savais pas que ça allait être le début d’u...
Du terroir à la terre entière
Article publié dans le n°1177 (16 juil. 2017) de Quinzaines
Seules les bêtes
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