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Nous avons été nombreux sans doute à recevoir, dans la matinée du mardi 13 septembre, des messages annonçant la mort de Jean-Luc Godard. Il est toujours difficile d’exprimer un sentiment concernant une personne qui n’est pas un proche, mais qu’on a aimée en tant qu'artiste. La tristesse qu’on éprouve est étrange, sensation d’un vide qui s’agrandit de plus en plus en consultant le registre des disparitions. Je me souviens que, ce jour-là, rue des Pyrénées, à Belleville, une vieille dame m’a interpellé sur le trottoir pour me demander je n...

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