Dans l’épigraphe empruntée à son Don Quichotte, Kathy Acker prévient : « [L]e langage que j’utilise n’est pas ce que je désire et fabrique. C’est ce qui m’est donné. Le langage est toujours une communauté. Le langage est ce que je sais et c’est mon cri[1]. » Le poète de Géométrie du cri fait entendre des voix qui se croisent, se coupent sans se répondre, parfois se taisent définitivement, violemment.
Auteur de deux thrillers[2]
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