L’histoire de cette publication est elle-même extraordinaire : que cette correspondance que l’on croyait perdue ait échappé, au moins en partie, à la destruction, et nous soit parvenue près de 70 ans après la mort de Gilbert-Lecomte et plus de 50 après celle de son ami est de l’ordre du miracle. Premier miracle, côté famille Lecomte : peu avant sa mort, à 36 ans, en 1943, l’auteur du Miroir noir fait de son père Edmond, honorable fondé de pouvoir d’une maison de Champagne, à Reims, son légataire universel. Edmond Lecomte détruit une partie des papiers, et ce d...
L'ombre de Maldoror
Article publié dans le n°1049 (16 nov. 2011) de Quinzaines
Correspondance 1927-1939
(Ypsilon)
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