Ce mot impossible à dire

« Ici », premier mot du livre, et la négation, dès le premier poème, témoignent d’une réduction qui gagne le cœur et la page, multipliant ce qui fut et qui a été arraché : « nul objet ne peut sortir sans avoir dit le lieu nul objet ni personne d’écriture. »
Thierry Metz
Entre l'eau et la feuille

Après Sur la table inventée en 2014, Jacques Brémond réédite Entre l’eau et la feuille, publié en 1991 par Arfuyen, un an après Le Journal d’un manœuvrei. Le poète Thierry Metz (1956-1997) revient, avec si peu, « dans la parole creuse vacante ». Écrire des poèmes verticaux, comme pierres levées, ou stèles, mais « entre l’eau et la feuille » que reste-t-il qui ne soit troué, déchiré ?


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