Tracé du vivant : la secousse et, malgré l’aboutissement imparable, le cri de vivre enregistré sur un sismographe. L’inéluctable n’ayant plus à être prouvé, l’écoulement sera l’aiguillon de vivre. Les négations, « en force », semblent paradoxalement assurer la prise. Les interpellations, au corps, au soleil, sont multiples : autant de points d’appui, nulle douceur apparemment, le silence en perspective inscrite (les mots signent leur propre défaite), ils figurent entre les vers, espaces blancs, recul de la peur pour une perception accrue :
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