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Une célébration du vivant

À contre-ciel, la foi est démentie dès l’amorce, un refus fonde l’élan du premier poème : « Je ne crois pas au ciel comme séjour des bienheureux ».
Marie-Claire Bancquart
Tracé du vivant

Tracé du vivant : la secousse et, malgré l’aboutissement imparable, le cri de vivre enregistré sur un sismographe. L’inéluctable n’ayant plus à être prouvé, l’écoulement sera l’aiguillon de vivre. Les négations, « en force », semblent paradoxalement assurer la prise. Les interpellations, au corps, au soleil, sont multiples : autant de points d’appui, nulle douceur apparemment, le silence en perspective inscrite (les mots signent leur propre défaite), ils figurent entre les vers, espaces blancs, recul de la peur pour une perception accrue :


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