En janvier 1975, Jean Meckert a soixante-cinq ans. Il est victime d’une mystérieuse agression. On le retrouve sans connaissance rue de Belleville. Il reste dans le coma. Après un assez long séjour à la Pitié-Salpêtrière, il rentre chez lui en piteux état. Tout un pan de sa mémoire s’est endormi : sa vie d’adulte et particulièrement ce qui concerne son œuvre. Or il a une quasi-certitude sur l’identité de ses agresseurs et Comme un écho errant nous livre son point de vue, encore qu’il n’ait aucun souvenir du déroulement des faits. En 1971, dans le cadre de ses recherches d’auteur ...
Sauvé de l'oubli
Article publié dans le n°1065 (16 juil. 2012) de Quinzaines
Abîme. Et autres contes inédits
(Joseph K (Métamorphoses))
Comme un écho errant
(Joseph K)
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)