Dix-sept nouvelles. Réunies pour la plupart autour de l’élément de l’eau et traversant à coups d’inondations, d’orages, de coups de tonnerre, de bruines ou d’éphémérides, dix-sept vies anonymes et en retrait. Pas de personnages hauts en couleur donc, ni héros ni individualité forte, mais des êtres qui, à la manière du minimalisme formel du récit, s’attardent sur un moment particulier d’une vie faite de liens, de regrets, de doutes, d’élans et qui, dans la tranquillité du quotidien, expriment soudain un léger tremblement. Ici un homme dans un petit studio meublé d’une petite<...
Brièveté des tremblements
Article publié dans le n°1065 (16 juil. 2012) de Quinzaines
L'odeur de la ville mouillée
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