En boxe comme en littérature, les talents se répartissent en différentes catégories. Il y a les puncheurs, les cogneurs, les danseurs et les évitistes toujours sur la défensive. Michel Quint appartient, quant à lui, à celle des outsiders qui sont sans cesse en état d’alerte. Dès le premier round, le ton est donné. « Je suis entré dans cette apocalypse jaune et noire avec un sourire imbécile et des joues bouffées de larmes », déclare d’emblée son narrateur, Étienne Vancauwenberghe, professeur de son état, officiellement célibataire, officieusement en quête d’un lien qui ne dit pa...
Sur le ring de la vie
Article publié dans le n°1248 (08 nov. 2022) de Quinzaines
La Printanière
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