Pendant dix ans, de 1999 à 2009, Horace Engdahl a été le grand prêtre de la république des lettres. Secrétaire perpétuel de l’Académie suédoise, il lui revenait d’annoncer aux oreilles du monde le nom du Prix Nobel de Littérature. Ces prescriptions, ces proférations, il les a ensuite réservées à l’intime de ses carnets. Sorti en 2011 en Suède, ce volume de considérations éparses est désormais disponible en français, transmis jusqu’à nous par le travail collectif d’un atelier de traduction d’étudiants, dirigé par Elena Balzamo.
La Cigarette et le Néan...
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