Il faut un peu de temps pour comprendre ce mystérieux triangle formé par trois enfants, Aja, Seri et Karl, dans une petite ville allemande, Kirchblüt, pendant les années 1960 et pour s’imprégner de la délicatesse magique des relations qui se tissent entre eux, mais aussi entre leurs mères, Ellen, Maria et Evi. Les Jours clairs bouleverse son lecteur par petites touches, avec pudeur. C’est un appel à la poésie et à la liberté, un hymne à la nature et à l’enfance, comme l’était déjà Le Nageur (Christian Bourgois, 2004).
Aja et Evi sont les deux figures centrales d...
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