Avez-vous lu Thierry Metz ?

Disparu en 1997, le poète Thierry Metz a laissé des textes inédits et plusieurs volumes épuisés  ; c’est le cas de Terre qui reparaît, texte indispensable pour qui veut se frotter au feu de cette langue réduite et lumineuse.

Terre a été publié l’année même de la mort volontaire du poète. Comme avec Carnets d’Orphée[1] ou L’Homme qui penche[2], il s’agit d’écrits de ses derniers mois.


La polysémie du titre offre plusieurs pistes : la Terre cosmique est inséparable de la matière que l’on creuse, celle où l’on « s’enterre », mais aussi celle avec laquelle on construit les murs. Argile, elle garde la trace des pas. Enfin, voici la terre du talus...

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