Terre a été publié l’année même de la mort volontaire du poète. Comme avec Carnets d’Orphée[1] ou L’Homme qui penche[2], il s’agit d’écrits de ses derniers mois.
La polysémie du titre offre plusieurs pistes : la Terre cosmique est inséparable de la matière que l’on creuse, celle où l’on « s’enterre », mais aussi celle avec laquelle on construit les murs. Argile, elle garde la trace des pas. Enfin, voici la terre du talus...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)