Après sept ans d’absence, Veronika Zarnik réapparaît, apparition qui s’accompagne d’une voix « légèrement voilée, absente comme son regard ». Et si la voix est ce qui disparaît en premier, d’après le narrateur du premier chapitre à qui se manifeste l’excentrique personnage, il s’agira, dans ce récit, Cette nuit, je l’ai vue, de laisser s’élever les voix de ceux qui ont connu cette femme mystérieuse et magnifique, pour tenter de lever le voile sur sa disparition et celle de son mari, brutale et inexpliquée. Ces cinq personnages reviennent en même temps sur leur...
Drôle d'époque
Article publié dans le n°1099 (16 févr. 2014) de Quinzaines
Cette nuit, je l'ai vue
(Phébus)
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