Roger Caillois, il est vrai, s’est trouvé souvent à la croisée des chemins, compagnon de route d’aventures intellectuelles et esthétiques de premier plan, sans même parler de son rôle dans la diffusion et la reconnaissance de la littérature sud-américaine avec la collection « La Croix du Sud » chez Gallimard. Dès les années rémoises, encore étudiant, il s’initie au Grand Jeu de René Daumal et Roger Gilbert-Lecomte. Il accompagne un temps les surréalistes avant de rompre avec Breton dès 1935, sans cesser de rester aux marges du mouvement. Le Collège de sociologie, dont il est l’u...
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Article publié dans le n°1091 (16 sept. 2013) de Quinzaines
Littérature n° 170
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