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Krudy l'enchanteur

Dispersé chez plusieurs éditeurs, traduit par différents traducteurs, Krúdy incarne, dans la vie littéraire française, l’esprit facétieux qui résonne dans plusieurs de ses récits. Quelle heureuse surprise alors que de découvrir ce court texte, "Le Coq de madame Cléophas", publié pour la première fois en Hongrie en 1920, qui transporte son lecteur dans des atmosphères tout autant spectrales et inquiétantes que burlesques et bouffonnes. Dans le même temps, le récit "N.N." est republié par l’éditrice et traductrice Ibolya Virág, qui a joué un rôle majeur dans la diffusion de cet auteur en France.
Gyula Krudy
Gyula Krudy
Le coq de Madame Cléophas (Circé)

Le Coq de madame Cléophas est construit autour d’un personnage central, Pistoli, qui revient d’entre les morts (il avait été enterré dans un précédent roman, Héliotrope), métamorphosé par un séjour dont il refuse de parler, préférant, lorsqu’on l’interroge, « regarder son gros orteil ou une coccinelle rouge », à moins bien sûr que « son trépas et d’autres circonstances annexes » n’aient été, comme d’aucuns le prétendent, qu’un moyen de « purger, sans en avoir l’air, la peine de prison que le tribunal royal lui avait infligé...

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