Jacques Josse signe la dix-septième « lettre ouverte » de cette collection de l’éditeur stéphanois Le Réalgar (dont le nom est tiré d’un vers de François Villon). Il s’adresse à son grand-père, mort « deux ans avant [sa] naissance ». Tout est ancré : les « dernières heures », en Bretagne, à Liscorno, en 1951. Ce qui est rassemblé dans cette lettre, ce sont les fragments d’un récit fait des souvenirs des autres, pour ce qui est de la personne, et de souvenirs personnels pour ce qui est des lieux et de tout ce que l’on peut y percevoir du passé et des restes de p...
Mémoires à la mer
Article publié dans le n°1211 (16 mars 2019) de Quinzaines
Lettre ouverte au grand-père capitaine
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