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Poésies de Gérard Macé

L’œuvre de Gérard Macé est inclassable. Elle conjugue tous les temps, navigue entre les genres. On ne sait comment la circonscrire, à l’image de ces « Pensées simples » qui paraissent chez Gallimard depuis 2011 et qui procèdent « par enchaînements subtils, par échos, associations, analogies ». Il s’agit d’une œuvre qui bouge, se déplace ; constamment en mouvement, elle est insaisissable, en trompe-l’œil.

Le poème est en prose, pour commencer, puis en vers. L’écriture devient critique, bifurque dans des domaines qui englobent la littérature ou l’anthropologie, le « goût de l’homme », imagine des vies antérieures, traduit, séjourne à Rome, voyage, désire l’Asie, l’Afrique, photographie le monde proche et lointain – rêve surtout. Toutefois, les mondes multiples que cette œuvre explore, comme en rend compte un récent volume d’études[1], tendraient, reviendraient toujours vers un même point : la poésie. Mais, par poésie, ...

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