Poursuivre

Fabienne Courtade développe un récit qui tait autant qu’il parle. Roman en vers ? Poème autobiographique en éclats ? Suite de notes, pensées, citations, réminiscences, choses vues, poèmes brefs ? Les genres se mêlent.
Fabienne Courtade
Corps tranquille étendu

Sans déterminant mais qualifié deux fois, coup sur coup, le nom bref est précisé par les deux adjectifs plus longs (une syllabe, puis deux, puis trois). Vision d’une sérénité gagnée ou évocation indirecte de la mort trouvée ? La grande roue de la couverture, d’après une photo de l’auteur, est-elle celle de l’éternel retour ?


Dès l’incipit apparaît le « nous » qui sera interrogé tout au long de ces pages : 


notes sur le fleuve qui nous a perdus : 


le corps en premier plan
est immergé 


Le corps du « nous » est pris dans ce qui...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine