On entre en scène avec deux personnages, Pupille et le Fou. Apparemment. On est tout de suite désaxé par une langue chahutée entre trop et pas assez, entre l’enfance et l’ellipse, « parler ça se déchire » :
Toutes les intimités :
nous infirment.
Avec un deux-points très utilisé comme logique syntaxique principale ou mise en relief, l’absence de virgules (les passages à la ligne suffisent) : ça tangue dès le début avec du noir, des trous, des mandibules, des gémissements. La scène d’un théâtre où des forces se croisent s’impose ; l...
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