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Un grand combat

Dans ce poème-récit au présent, ce qui ressemble bien à un personnage se bat et se débat, y compris avec lui-même et d’abord avec la langue, dans ce langage perturbé où il s’agit de « se vivre ».
Édith Azam
Bestiole-moi Pupille

On entre en scène avec deux personnages, Pupille et le Fou. Apparemment. On est tout de suite désaxé par une langue chahutée entre trop et pas assez, entre l’enfance et l’ellipse, « parler ça se déchire » : 


Toutes les intimités :
nous infirment.


Avec un deux-points très utilisé comme logique syntaxique principale ou mise en relief, l’absence de virgules (les passages à la ligne suffisent) : ça tangue dès le début avec du noir, des trous, des mandibules, des gémissements. La scène d’un théâtre où des forces se croisent s’impose ; l...

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