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Ce qui reste

Chaque poème du nouveau livre d’Olivier Barbarant est l’expression d’un instant que la mémoire a élu. Il restitue l’intensité vécue qui résiste à l’oubli, le temps d’une vie.
Olivier Barbarant
Un grand instant

On connaît l’intérêt d’Olivier Barbarant pour Aragon – dont il a édité l’œuvre poétique dans la collection de la Pléiade –, Apollinaire, Colette, Claudel ou Racine. C’est ici la pensée de Vladimir Jankélévitch sur le temps et la mort qui semble au cœur de la construction du livre. Dans Temps mort, son journal de 1986-1998, Olivier Barbarant affirmait, en 1993-1994, « consacr[er] douze heures par jour à [s]a thèse, et le reste du temps à lire Jankélévitch[1] ».


La longue épi...

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