Sur le même sujet

« Galets dans la gorge »

De Julien Bosc, éditeur et poète récemment disparu, nous parvient un poème inédit qui mêle les couleurs et lumières du printemps aux ombres de la mélancolie.
Julien Bosc
La Demeure et le Lieu

Une « neige d’avril », tardive et miraculeuse, est entrée dans le poème, celle d’une rose, au nom singulier, qui dès le début du livre évoque le printemps qui fleurit, sans faire oublier l’hiver qui reviendra : ce qui entoure, dans l’éveil d’avril, occupe le regard sans lui suffire. Dans « l’ombre adolescente et pas peu fière d’un jeune tilleul », la vie rapproche le poète-témoin des présences dans le jardin qu’il nomme avec précision : fleurs, arbres, oiseaux… Voici « une conscience exsangue la demeure et le lieu », comme si ces seul...

La lecture des articles est réservée à la souscription d‘un abonnement spécifique
La lecture de cet article est soumise à la souscription d'un abonnement. Si vous possédez un abonnement, merci de vous connecter ci-dessous. Si vous souhaitez vous abonner, nous vous remercions d'utiliser un ordinateur plutôt qu'un téléphone ou une tablette

Vous êtes abonné(e)

Identifiez vous

Pas encore abonné(e) ?

Abonnez vous

Choisissez votre formule d'abonnement et accédez à La Quinzaine

Vous aimerez aussi