Quarante poèmes de dix-huit vers (dix-neuf pour le premier). Mais ce jardin à la française est plutôt un jardin ouvrier[1]. On connaît le goût de Jean-Louis Rambour pour les contraintes numériques : les vingt rectangles justifiés de La Vie crue[2], les trente poèmes du Seizième Arcane[3]…
En rouge et noir, Renaud Allirand a peint des lignes fortes et interrompues, souvent écla...
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