Royal au bar de Thibaut Blondel est comme un mirage. Après l’avoir vu (lu), l’image ne nous quitte plus, elle nous hante, elle nous habite, elle nous ronge, et pourtant l’évidence même de son inexistence nous écrase. On reste accroché au personnage de Sepherd Edwards – personnage du premier roman de l’auteur, Maelström exotique –, alors que c’est un portrait de l’auteur que nous découvrons sur la couverture. Tout en se montrant, en s’affichant, Thibaut Blondel disparaît derrière son personnage, mais apparaît également, continuellement.
Il serait étrange que vous...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)