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Le « journal de mort » de Kertész

L'Ultime auberge est présenté comme le troisième tome de la trilogie comprenant Kaddish pour l'enfant qui ne naîtra pas, qui occupe une place centrale dans l'œuvre de Kertész, et Liquidation, alors que Kaddish avait été intégré comme troisième volet de la trilogie composée d'Être sans destin et du Refus. Le plus important, c'est que chez Kertész, « tout est en relation, mais [que] ces relations se créent naturellement » (1). L'écrivain considère en tout cas L'Ultime Auberge comme le « couronnement de son œuvre ». Il n'est pas certain pourtant que le lecteur parvienne à y retrouver l'auteur du Journal de galère ou des grands romans.
Imre Kertész
L'Ultime auberge

À vrai dire, L’Ultime Auberge, annoncé comme le nouveau roman de Kertész, n’en est pas un à proprement parler. On y reconnaît le ton si particulier de ses journaux. Quatre parties composent le livre : d’abord « Secrets dévoilés (Notes) », puis « L’ultime auberge (Première ébauche) », qui donne son titre à l’ouvrage, mais qui ne comprend qu’une trentaine de pages. Le personnage principal en est B., l’écrivain né à Auschwitz qui se suicide dans Liquidation. « Le jardin des trivialités (Notes) » fait pendant à la pre...

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