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Le phare des morts

Ce texte, sans doute achevé en 2016, nous ramène la voix fraternelle de Julien Bosc, disparu deux ans plus tard. C’est le quatrième volume posthume du poète.
Julien Bosc
Le coucou chante contre mon cœur

Julien Bosc a choisi pour ce livre un cadre qui l’inscrit dans l’histoire de notre poésie : une suite de cent cinq dizains par groupes de trois, comme un écho à la Délie de Maurice Scève, le poète de la Renaissance lyonnaise, qui terminait son poème en affirmant continuer à pleurer et brûler après sa mort en son tombeau même. Avec Julien Bosc cependant, ni décasyllabes ni rimes. Les vers sont libres, s’allongeant ou s’abrégeant au fil des strophes, variant les rythmes.


Au cœur de ce livre, l’empêchement qui nourrirait l’écriture dans la soustraction qu’il impose : quelqu...

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