Ces ouvrages nous plongent dans l’impossible, à la limite de l’intenable où s’est trouvée l’écriture. Et pourtant, derrière leurs aspects brûlants (puisque appelant, témoignant, hurlant) se dessine non de l’espoir (ce serait s’évader encore), mais une archéologie de l’humanité face à la mort.
Cette traversée existentielle est au cœur de ces ouvrages et de celui de Magali Croset-Calisto sur la mort volée de sa grand-mère. Jean-Philippe Domecq note de ce texte : « un récit aussi clinique qu’existentiel, qui nous parle de près ». Il nous donne les clés de la le...
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