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Nos corps de terre et de sang

Valérie Rossignol sculpte et travaille la terre depuis qu’elle a seize ans. Ce travail manuel (liant la main à l’esprit au contact d’un matériel venu de notre monde) s’accompagne d’un autre, l’écriture. Dans De terre et de chair, publié récemment, c’est le lien sans limite vers l’autre qu’elle nous fait parcourir.
Valérie Rossignol
De terre et de chair

Belinda Cannone, dans sa préface au livre de V. Rossignol, écrit :


« Je défends souvent l’idée que dans de nombreuses situations de l’existence nous ne percevons ni homme ni femme, parce que la question du genre ne se pose pas qu’elle est, dis-je, suspendue. »                                                                                                        


C’est peut-être ce que nous trouble le plus (et peut-être moi en tant qu’« homme »), que cet œil de femme sur un homme, se délie en tant que regard créateur et offre à l’homme de renaît...

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