Belinda Cannone, dans sa préface au livre de V. Rossignol, écrit :
« Je défends souvent l’idée que dans de nombreuses situations de l’existence nous ne percevons ni homme ni femme, parce que la question du genre ne se pose pas qu’elle est, dis-je, suspendue. »
C’est peut-être ce que nous trouble le plus (et peut-être moi en tant qu’« homme »), que cet œil de femme sur un homme, se délie en tant que regard créateur et offre à l’homme de renaît...
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