On le sait en France depuis les années 1980 (un peu avant, un peu après, dans la liste non exhaustive qui suit[1]) et l’émergence des belles plumes de Manchette, Fajardie, Vautrin, Siniac, Jonquet, Raynal, Jaouen, Daeninckx, Oppel, Pouy… rien de tel qu’un bon roman noir pour s’offrir un portrait de la société attentif à ses maux, ses marges, ses malaises, ses violences. Ni thriller (récit à suspense dont les conflits entre un héros et ses ennemis cherchent à faire « frémir » de peur), ni polar (dont le récit s’organise autour...
« Nous n’avons que le choix du noir »
Article publié dans le n°1177 (16 juil. 2017) de Quinzaines
La princesse de crève
(La Table Ronde (La Petite Vermillon))
La nuit myope
(La Table Ronde (La Petite Vermillon))
Le sourire contenu
(La Table Ronde (La Petite Vermillon))
La langue chienne
(La Table Ronde (La Petite Vermillon))
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)