La prière d’insérer nous prévient que « C’est toute une histoire / Qui ne s’écrira pas », alors que le titre semble annoncer le script d’une scène de cinéma. Les premiers fragments, des vers elliptiques, nous plongent au cœur d’une nuit d’insomnie.
J’entends grincer des portes
Qui n’existent pas
Une armoire un placard
Une casquette
Vide
La narratrice y est seule, dans l’attente peut-être d’un poème à écrire dans son « carnet cousu », ou de quelqu’un qui ne viendra pas.
Puisque la ...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)