Nous connaissions La Vie mode d’emploi, de Georges Perec, Du bon usage des maladies, de Blaise Pascal. Voici La Vie à l’usage, de Manuel Daull. Cet usage sans complément nous annonce qu’il ne s’agit pas d’un manuel ou d’un livre de sagesse, simplement de considérations sur la vie quand on l’a suffisamment pratiquée pour pouvoir en parler.
C’est un je fragilisé (instable ?) qui ouvre le texte. Ce pronom, isolé, seul en ligne, génère des déterminants indéfinis, « quelques mots, / quelques phrases », une tentative de poème ...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)