Et c’est un double régal pour le lecteur : celui de l’évocation de livres qu’il a lus, et parfois aimés (ou de livres qu’il se promet de lire depuis longtemps), et l’analyse, souvent ironique, quelquefois mordante, des textes dont il est question. Dans le même temps s’élabore une réflexion passionnante sur la période que traverse l’auteur. La littérature devient le lieu idéal de la foi dans l’homme et dans le savoir, en ce qu’elle oppose à l’obscurantisme une résistance constante.
Walter Mehring plonge le lecteur dans l’intimité d’une culture universelle. Ce récit est écrit ...
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