Maurice Blanchot, proche des groupes d’extrême droite à cette époque de sa vie – avant sa « conversion » (terme qu’il utilise) que nous pouvons situer autour de sa rencontre avec Emmanuel Levinas et le cheminement éthique de ses récits et écrits –, qui se démarque de ses collègues, partage cependant leur nationalisme patriotique. Il demeure un chroniqueur vif et précis de la période qu’il analyse. Ses erreurs ne portent pas tant sur les questions qu’ils abordent ou qu’ils suggèrent, mais plutôt sur la réalisation de la solution à apporter. Appelant souvent à une révolution viole...
Une révolution nécessaire ? Entretien avec David Uhrig
Article publié dans le n°1178 (01 sept. 2017) de Quinzaines
Chroniques politiques des années trente (1931-1940)
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