Le participe passé passif, « enchaînés », devenu adjectif, ne concerne pas les étoiles : libres, elles ne retiennent pas ceux qui sont liés. Ce chœur difficilement atteignable peut bien s’éveiller s’il n’est qu’endormi, les ombres alors parleront. L’alexandrin est approximatif : un vers de douze ou treize syllabes (selon que l’on prononce ou pas le e final d’« étoiles »). Habillé du vocatif caractéristique du chant orphique, il nous fait entrer dans ce resurgissement des voix et des mythes.
La première partie, « Éloge funèbre de Monsieur Martinoty », dresse un nouveau to...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)