Les dessins et peintures de Diane de Bournazel suscitent un monde onirique qui peut rappeler l’art rupestre et celui des Amérindiens ou des Inuits. Quelque chose de magique ou de chamanique, parfois proche d’une écriture sans mots, évoque les pictogrammes. Mais on pourrait aussi penser à ce que le microscope révèle de vie dans la goutte d’eau prélevée dans un étang. Des personnages, nombreux, les parcourent : animalcules ou animaux, humains ou chimères, réjouissants ou inquiétants. Les formes allongées, ailées parfois, semblent surgies d’un rêve ou d’un cauchemar. On ne saurait dire si c...
Invitation à la métamorphose
Article publié dans le n°1193 (01 mai 2018) de Quinzaines
L’Amante érectile
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