Le titre surprend doublement : d’abord une simple indication de forme. On pense au nom originel donné par Apollinaire à ses calligrammes : « idéogrammes lyriques ». Mais, par une sorte d’anagramme augmentée de deux lettres, l’adjectif s’est transformé en terme de peinture, ou peut-être de textile : l’acrylique, matière moderne si pratique :
Il lui reste la plupart de ses lettres, et le parfum d’une dyslexie volontaire. Il se mélange à de l’âcreté. Un lyrisme âcre qui propose sa figuration mentale et ses spéculations optiques à la place de son ...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)