Isabelle Lévesque : Tout au long du livre, vous évoquez une véritable guerre entre « lyriques » d’une part et « textualistes » ou « littéralistes » d’autre part. Selon vous, ce sont ces derniers qui ont gagné dans les années 1960-1970 en particulier, réussissant à faire taire les premiers, détenant tous les pouvoirs et faisant fuir les lecteurs d’une façon peut-être définitive. Comment ont-ils pu obtenir la « proscription du lyrisme » ? Les poètes que vous présentez vous-même comme « lyriques » ou « nouveaux lyriques »...
Pour une poésie qui chante. Entretien avec Michel Collot
Article publié dans le n°1214 (15 mai 2019) de Quinzaines
Le Chant du monde dans la poésie française contemporaine
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