Un narrateur propose de nous raconter l’histoire de « L’ŒIL », qu’on peut lire comme celle de « LA PAROLE ». Nous abordons cette nouvelle Genèse comme une épopée non linéaire située plus près de la science du docteur Faustroll (dont les yeux étaient « deux capsules de simple encre à écrire, préparée comme l’eau-de-vie de Dantzick, avec des spermatozoïdes d’or dedans[1] ») que de la science commune. Une force cherche sans doute à constituer le « je » absent :
Pas de héros ici.
Pas mê...
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)