Dans ses Chants orphiques[1], Dino Campana, poète cher à Irène Gayraud, racontait : « Il y a un miroir devant moi et l’horloge bat : la lumière arrive des portiques à travers les rideaux de la vitrine. Je prends la plume : J’écris : quoi, ne sais : j’ai le sang aux doigts : écris : “l’amant dans la pénombre agrafé au visage de l’amante agrafée au visage de l’amant pour écharner son rêve…, etc.” »
Le miroir et l’horloge nous placent face à l’« irréductible faille ».
La mort, c’est aus...
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