Pour atteindre le poème qui commence et finit sur les rabats de la feuille de couverture, il faut déplier le leporello paru aux éditions Littérature mineure, qui publient des textes rares ou inédits, toujours précieux, d’auteurs aussi divers que Trakl, Apollinaire, Bukowski, Christophe Manon, Daniel Darc ou Yannick Torlini.
C’est un chant, celui de l’amour éperdu qui s’éloigne, puis réapparaît. Le poème commence par un portrait sous forme de blasons de l’aimée. On lit les formulations simples du premier jour : « [m]on amour, c’est… » À la nature la femme d’évide...
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