Christoph Poschenrieder, pour qui la vie et l’œuvre d’Arthur Schopenhauer n’ont guère de secrets, entraîne ici son lecteur, non sur les pas du vieux philosophe promenant sa chienne Atma dans les rues de Francfort, mais aux côtés du jeune homme qu’il fut, en route vers Rome et Naples via Venise. Il délaisse la cité de Goethe, Weimar, pour celle où séjourne Byron, et dans l’atmosphère magique de Venise, Schopenhauer va confronter sa philosophie toute neuve, pas encore sortie des presses de son éditeur Brockhaus, avec un monde où beauté, sensualité et violence forment un cocktail épicé.
...Schopenhauer à Venise
Article publié dans le n°1065 (16 juil. 2012) de Quinzaines
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