Après un passage par le récit et la prose poétique[1], les vers s’imposent le plus souvent dans ce nouvel ouvrage de Jean-Pierre Chambon. Le dessin de couverture pourrait évoquer une planète ou le cœur d’une fleur, mais ne serait-ce pas un œil, iris et pupille ? L’Écorce terrestre commence par « Spéculation sur la perte de la lumière », avant de mentionner une « greffe de la cornée » : au cœur du livre, l’œil. De l’« écorce terrestre » au tournesol et à la méduse, il subit de nombreuses métamorphose...
Vers l’invisible
Article publié dans le n°1192 (16 avril 2018) de Quinzaines
L’Écorce terrestre
Commentaires (identifiez-vous pour commenter)